Deux jeunes gens sont enlevés et séquestrés au fond d’une piscine vide dont il est impossible de s’échapper. À côté d’eux, un pistolet chargé d’une unique balle et un téléphone portable avec suffisamment de batterie pour délivrer un terrible message: « Vous devez tuer pour vivre. »
Sept lettres, cris du cœur, cris de rage, d’un élève en difficulté. Vibrant plaidoyer pour les mauvais élèves qui ne trouvent pas leur place dans l’institution.
Vasco et Djib sont inséparables depuis toujours. Turbulents, pas vraiment délinquants, les deux banlieusards partagent aussi bien les bêtises, les rires que les bleus. Leur dernière rixe est pourtant celle de trop…
Till l’espiègle, véritable anti-héros, erre de ville en ville depuis qu’il a été délogé de chez lui. Mi voyageur, mi vagabond, Till l’espiègle a le chic pour se retrouver dans de fâcheuses situations.
Toute la semaine, j’ai gardé la sensation désagréable d’être épiée.
Qu’est-ce qu’ils mijotaient tous ?
Cassandra ! Un prénom romanesque, à l’image du château perdu au fin fond de l’Angleterre où vit la jeune fille et toute sa famille pour le moins excentrique.
L’histoire se présente sous la forme d’un dialogue entre un lapin un peu blasé et une voix off très pédagogue qui a pour mission de lui apprendre à être propre.
Dans la cité moyenâgeuse de Deux – Brumes sévit le redoutable chat noir, voleur armé de griffes de métal. Fortune et titre de noblesse sont promis à qui le capturera.
À cause de leur physique ingrat, Mireille, Astrid et Hakima ont gagné le « concours de boudins » de leur collège de Bourg-en-Bresse. Les trois découvrent alors que leurs destins s’entrecroisent en une date et un lieu précis : Paris, l’Élysée, le 14 juillet.
Qu’est-ce qu’un abri ? Le berceau ? La maison ? Les copains ? L’amour ? Ou un livre tendre et doux à lire blottis l’un contre l’autre ?…